L'économie globalisée a bout de souffle:

L'objectif de ce livre vise à décrire les expressions concrètes d'un nouveau modèle de gouvernance à travers les firmes.L'économie s'est globalisée alors que les Etats persistent à lever des impôts et des contributions de solidarité assis sur les actes de production. Dès lors, la firme soumise à un environnement concurrentiel implacable est placée dans l'obligation d'aller produire là où les facteurs de production sont les moins couteux. Au moment où la nation et la firme semblaient enfin réconciliées, le divorce parait inéluctable. La globalisation recouvre des politiques économiques spécifiques, des réformes financières, des institutions économiques internationales, un accroissement de l'internationalisation des échanges de biens et de services, des modifications de la structure du capital des firmes, des stratégies et organisations productives typiques ou encore une progression de l'incertitude de l'activité. Cette globalisation est assimilée à une force quasi naturelle et extrapolitique. De telles sortes que l'on éprouver les plus grandes difficultés à distinguer ce à quoi elle constitue précisément dans la réalité et à évaluer ses conséquences sur la sphère productive.

Autorentext

Docteur Sylla Mamadou, Enseignant -Chercheur à l'UFR des Sciences Economiques et de gestion à l'Université Félix-Houphouet- Boigny Abidjan-Cocody. Spécialisé en stratégie et management des projets. Plusieurs conférences dans le monde, publications et recherches nationales et internationales.

Klappentext

L'objectif de ce livre vise à décrire les expressions concrètes d'un nouveau modèle de gouvernance à travers les firmes.L'économie s'est globalisée alors que les Etats persistent à lever des impôts et des contributions de solidarité assis sur les actes de production. Dès lors, la firme soumise à un environnement concurrentiel implacable est placée dans l'obligation d'aller produire là où les facteurs de production sont les moins couteux. Au moment où la nation et la firme semblaient enfin réconciliées, le divorce parait inéluctable. La globalisation recouvre des politiques économiques spécifiques, des réformes financières, des institutions économiques internationales, un accroissement de l'internationalisation des échanges de biens et de services, des modifications de la structure du capital des firmes, des stratégies et organisations productives typiques ou encore une progression de l'incertitude de l'activité. Cette globalisation est assimilée à une force quasi naturelle et extrapolitique. De telles sortes que l'on éprouver les plus grandes difficultés à distinguer ce à quoi elle constitue précisément dans la réalité et à évaluer ses conséquences sur la sphère productive.