Le salarié actionnaire en droits Congolais, Ohada et Français

L auteur s est penché sur une étude comparative de l actionnariat salarié, plus précisément sur le cas de l achat par la société de ses propres pour attribution aux salariés dans les droits congolais, Ohada et français. En faisant ressortir les fondements de l actionnariat salarié (origines, définition, réglementation ainsi que les conséquences économiques et juridiques qu il engendre au sein de l entreprise et sur le statut du salarié) ; il a aussi relevé que l arsenal juridique congolais se caractérisait par l absence d une législation spéciale sur l actionnariat salarié. Toujours dans la même veine, il a décrié le mimétisme Ohadien face à l évolution qu a connu la loi française de 1998 avant de proposer des solutions pour une promotion plus incitative de l actionnariat salarié en droit Ohada.

Autorentext

NSHINGU KAZADI est Licencié en Droit (Option : Droit économique et social) de l'Université Protestante au Congo à Kinshasa en 2011, en République Démocratique du Congo. Lauréat du concours national d'embauche ' VODACOM ELITE ' lancé par VODACOM CONGO, compagnie dans laquelle il assume la fonction de Conseiller juridique depuis le 1er Décembre 2011

Klappentext

L'auteur s'est penché sur une étude comparative de l'actionnariat salarié, plus précisément sur le cas de l'achat par la société de ses propres pour attribution aux salariés dans les droits congolais, Ohada et français. En faisant ressortir les fondements de l'actionnariat salarié (origines, définition, réglementation ainsi que les conséquences économiques et juridiques qu'il engendre au sein de l'entreprise et sur le statut du salarié) ; il a aussi relevé que l'arsenal juridique congolais se caractérisait par l'absence d'une législation spéciale sur l'actionnariat salarié. Toujours dans la même veine, il a décrié le mimétisme Ohadien face à l'évolution qu'a connu la loi française de 1998 avant de proposer des solutions pour une promotion plus incitative de l'actionnariat salarié en droit Ohada.