Immunologie de l'infertilité féminine en Fécondation In Vitro

Ce livre, basé sur le travail de thèse, réalisé à l'Université Mohammed V- Rabat, en convention avec trois centres d'Assistance Médicale à la Procréation à Casablanca (Anfa Fertility Center, IRIFIV et Labomac) au Maroc, focalisé sur l'étude de l'immunologie de l'infertilité féminine en Fécondation in vitro (FIV) a eu un objectif principal d'étudier la qualité ovocytaire et endométriale étant directement influencées par le dérèglement immunitaire. En effet, un dérèglement à ces deux niveaux peut induire dans la plupart des cas des échecs répétés d'implantation (RIF) embryonnaire ou le syndrome d'ovaire polykystique (SOPK) après FIV. Cette étude a pu mettre en évidence d'une part l'efficacité de la technique de l'immunothérapie par administration des cellules mononucléaires du sang périphériques cultivées (PBMC) au niveau intra-utérin des patientes avec des RIF avant le transfert embryonnaire en FIV, et d'autre part, mettre en place une nouvelle approche de Maturation in vitro hétérologue personnalisée pour les SOPK après une stimulation hormonale. Cette vision immunologique -pour mieux gérer des échecs inexpliqués en FIV liés à l'infertilité féminine- va offrir de nouvelles orientations de traitement.

Autorentext

Aicha Madkour, Docteur Biologiste Spécialisée en Immunologie de la Reproduction Humaine dans le cadre de l'Assistance Médicale à la Procréation, a pu mieux se focaliser sur l'étude de l'infertilité féminine, obtenant son PhD- Université Mohammed V- Rabat- Maroc, en 2016 et son Post-Doc- Université de Picardie- Jules Verne- Amiens- France, en 2018.

Klappentext

Ce livre, basé sur le travail de thèse, réalisé à l'Université Mohammed V- Rabat, en convention avec trois centres d'Assistance Médicale à la Procréation à Casablanca (Anfa Fertility Center, IRIFIV et Labomac) au Maroc, focalisé sur l'étude de l'immunologie de l'infertilité féminine en Fécondation in vitro (FIV) a eu un objectif principal d'étudier la qualité ovocytaire et endométriale étant directement influencées par le dérèglement immunitaire. En effet, un dérèglement à ces deux niveaux peut induire dans la plupart des cas des échecs répétés d'implantation (RIF) embryonnaire ou le syndrome d'ovaire polykystique (SOPK) après FIV. Cette étude a pu mettre en évidence d'une part l'efficacité de la technique de l'immunothérapie par administration des cellules mononucléaires du sang périphériques cultivées (PBMC) au niveau intra-utérin des patientes avec des RIF avant le transfert embryonnaire en FIV, et d'autre part, mettre en place une nouvelle approche de Maturation in vitro hétérologue personnalisée pour les SOPK après une stimulation hormonale. Cette vision immunologique -pour mieux gérer des échecs inexpliqués en FIV liés à l'infertilité féminine- va offrir de nouvelles orientations de traitement.