Les réseaux et le droit pénal congolais

Nous vivons dans une période où les nouvelles technologies d'information et de communication constituent " un esprit nouveau " qui nous apporte une quantité infinie de nouvelles possibilités. En effet, le recours à l'anonymat et à l'utilisation de pseudonymes sur internet n'est pas, en soi, un phénomène qui intéresse le droit pénal congolais. Par ce biais, les réseaux sociaux participent à l'émergence de nouvelles formes de liberté d'expression. Toutefois, le revers de la médaille est évidemment l'utilisation abusive qui peut être faite de ces outils. Ainsi, le recours à des pseudonymes que semblent offrir les réseaux sociaux constituent un terrain fertile pour la prolifération de comportements délictueux, voire déviants qui nécessitent une réaction du droit pénal. Malheureusement, ce dernier ne couvre pas toutes les infractions en matière de cybercriminalité.

Autorentext

ECASA NONDO Didier est né à KAZIMIA, le 25 Décembre 1992. Il est licencié en Droit de l'Université Catholique de BUKAVU depuis 2017. Après avoir fait un bon parcours à la faculté de droit, il est depuis 2015 conseiller juridique des établissements K-AHIME, et de l'association «Rural integreted development program of africa».

Klappentext

Nous vivons dans une période où les nouvelles technologies d'information et de communication constituent « un esprit nouveau » qui nous apporte une quantité infinie de nouvelles possibilités. En effet, le recours à l'anonymat et à l'utilisation de pseudonymes sur internet n'est pas, en soi, un phénomène qui intéresse le droit pénal congolais. Par ce biais, les réseaux sociaux participent à l'émergence de nouvelles formes de liberté d'expression. Toutefois, le revers de la médaille est évidemment l'utilisation abusive qui peut être faite de ces outils. Ainsi, le recours à des pseudonymes que semblent offrir les réseaux sociaux constituent un terrain fertile pour la prolifération de comportements délictueux, voire déviants qui nécessitent une réaction du droit pénal. Malheureusement, ce dernier ne couvre pas toutes les infractions en matière de cybercriminalité.