ALBORADA

Préface :" ALBORADA" est un recueil fait d'un seul souffle, tissé de fils menus, ceux de l'émotion, d'aubes incertaines, d'horizons fuyants comme autant d'oiseaux qui peinent à s'envoler.La nature nous parle dans un langage sibyllin qui lui est propre, elle est source d'enseignements transcendants appréhendés par le coeur, elle est chair faite de lumière et qui diffuse en nous pour conforter le coeur et l'âme... L'auteur tout au long de ce recueil invoque souvent comme ça, comme par le biais d'incantations, une aubade cette entité faite femme, l'incarnation de la poésie, elle habite son imaginaire fiévreux, c'est comme un besoin, un trop plein qu'il doit exprimer, qu'il doit évacuer; être imaginaire mais, étrangement plus fort que le réel...Au début fut le verbe, puis fut le souffle, les mots lui donnent chair et la voilà qui se meut entre les lignes, resplendissante mais, toujours évanescente tel le mirage. Ne restent à la fin que la soif, que les grains de sable s'échappant à travers les doigts... Que des cendres d'aurore, des aubes incertaines.

Autorentext

Hamid Ben, poète, nouvelliste et artiste peintre. Né en 1965.Parmi ses publications, on peut citer ; "Une saison parmi les hommes" 2002", " Transhumances" 2008", " Captive" 2009" aux éditions Fondation littéraire Fleur de Lys, "Solstice" aux éditions Edilivre "Moissons de réprimandes: chez Stellamaris 2022. " Équinoxes" 2023 chez L'Harmattan.

Klappentext

Préface :" ALBORADA" est un recueil fait d'un seul souffle, tissé de fils menus, ceux de l'émotion, d'aubes incertaines, d'horizons fuyants comme autant d'oiseaux qui peinent à s'envoler.La nature nous parle dans un langage sibyllin qui lui est propre, elle est source d'enseignements transcendants appréhendés par le cur, elle est chair faite de lumière et qui diffuse en nous pour conforter le cur et l'âme... L'auteur tout au long de ce recueil invoque souvent comme ça, comme par le biais d'incantations, une aubade cette entité faite femme, l'incarnation de la poésie, elle habite son imaginaire fiévreux, c'est comme un besoin, un trop plein qu'il doit exprimer, qu'il doit évacuer; être imaginaire mais, étrangement plus fort que le réel...Au début fut le verbe, puis fut le souffle, les mots lui donnent chair et la voilà qui se meut entre les lignes, resplendissante mais, toujours évanescente tel le mirage. Ne restent à la fin que la soif, que les grains de sable s'échappant à travers les doigts... Que des cendres d'aurore, des aubes incertaines.