JE REVIENS DE LOIN !

«Je reviens de loin!» est un témoignage!Il dévoile un pan de l'histoire de son narrateur. C'est donc une autobiographie, et également celle de milliers de fonctionnaires, aux prises avec les acteurs d'un système économique véreux : les usuriers, connus aussi sous le nom de «margouillats».Le témoin essaie d'éclairer les activités nuisibles de ces bourreaux, maîtres de son compte bancaire, donc de son salaire et de sa vie ; des hommes qui l'ont réduit à la portion congrue, lui qui était annoncé comme l'un des fleurons de sa famille!Il décrit une vie professionnelle débutée dans les meilleures conditions mais qui, du fait de ces hommes sans foi ni loi, décline.S'il peint ici, ses espoirs d'une vie normale brisés, ses déboires, c'est pour alerter ses collègues enseignants surtout les débutants qui y sont les plus nombreux, sur les dangers qu'il y a à fréquenter -volontairement ou non- les hommes et les lieux qui ont été les siens.C'est aussi un hommage à Dieu qui a permis que le narrateur sorte de cette gadoue, sans grand dommage!

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Tapé Innocent TAGROProfesseur d'espagnol au Lycée Moderne de Port-Bouët (Abidjan) à la retraite ; Inspecteur en chef d'espagnol.

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'Je reviens de loin!' est un témoignage!Il dévoile un pan de l'histoire de son narrateur. C'est donc une autobiographie, et également celle de milliers de fonctionnaires, aux prises avec les acteurs d'un système économique véreux : les usuriers, connus aussi sous le nom de 'margouillats'.Le témoin essaie d'éclairer les activités nuisibles de ces bourreaux, maîtres de son compte bancaire, donc de son salaire et de sa vie ; des hommes qui l'ont réduit à la portion congrue, lui qui était annoncé comme l'un des fleurons de sa famille!Il décrit une vie professionnelle débutée dans les meilleures conditions mais qui, du fait de ces hommes sans foi ni loi, décline.S'il peint ici, ses espoirs d'une vie normale brisés, ses déboires, c'est pour alerter ses collègues enseignants surtout les débutants qui y sont les plus nombreux, sur les dangers qu'il y a à fréquenter -volontairement ou non- les hommes et les lieux qui ont été les siens.C'est aussi un hommage à Dieu qui a permis que le narrateur sorte de cette gadoue, sans grand dommage!