Passez le test ! L'électrophorèse m'a sauvée

Plus de 40 ans d'errance médicale sans suite probante. Entre les tâtonnements de Laquintinie clinique de Douala, au Cameroun, l'apparition de mon ulcère à Lomé hôpital, au Togo et le diagnostic formel par l'électrophorèse à Noisiel, en France, j'endurais 40 ans de souffrances physique et psychique. 40 ans de gérisseurs et de soignants. Mais la guérison contre la drépanocytose ne venait pas.Récit d'une vie à travers une existence assujettie au cycle médical officiel d'allopathie. Mon corps receptacle des douleurs me disait que j'étais une belle âme. Innocente à la naissance, je venais au monde pour ensuite être bafouée. Humiliée à cause de mon handicap, stigmatisée par la drépanocytose que je portais. Mon corps supplicié, mon âme résistait. Contre la fréquence des crises vaso-occulives, les medécins intervenants se bornaient à calmer mes douleurs sans voir l'autre côté de l'iceberg. C'es-à-dire, les causes profondes de mes insuffisances respiratoires. Je forçais les remèdes alternatifs et parvenais à arrêter la fréquence de mes crises hématologiques. Maintenant, j'ose pouvoir augmenter mon espérance de vie.

Autorentext

Juriste spécialisé en droit international public et droit humanitaire, Richard Ossoma-Lesmois s'interesse aux valeurs fondamentales de la famille, à l'évolution des sociétés contemporaines et africaines, au brassage des cultures. Auteur de plusieurs ouvrages, il est impliqué dans la lutte contre la drépananocytose en Afrique centrale.

Klappentext

Plus de 40 ans d'errance médicale sans suite probante. Entre les tâtonnements de Laquintinie clinique de Douala, au Cameroun, l'apparition de mon ulcère à Lomé hôpital, au Togo et le diagnostic formel par l'électrophorèse à Noisiel, en France, j'endurais 40 ans de souffrances physique et psychique. 40 ans de gérisseurs et de soignants. Mais la guérison contre la drépanocytose ne venait pas.Récit d'une vie à travers une existence assujettie au cycle médical officiel d'allopathie. Mon corps receptacle des douleurs me disait que j'étais une belle âme. Innocente à la naissance, je venais au monde pour ensuite être bafouée. Humiliée à cause de mon handicap, stigmatisée par la drépanocytose que je portais. Mon corps supplicié, mon âme résistait. Contre la fréquence des crises vaso-occulives, les medécins intervenants se bornaient à calmer mes douleurs sans voir l'autre côté de l'iceberg. C'es-à-dire, les causes profondes de mes insuffisances respiratoires. Je forçais les remèdes alternatifs et parvenais à arrêter la fréquence de mes crises hématologiques. Maintenant, j'ose pouvoir augmenter mon espérance de vie.