Pour une intégration locale efficace post crise des ex-combattants

Le présent ouvrage réalise l'état de la perception réciproque post conflit entre les ex combattants et les populations dans trois (03) localités situées à l'Ouest et au Sud-Ouest de la Côte d'Ivoire. Il s'agit d'une étude de référence réalisée en 2014 en appui aux actions de l'Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation et la Réinsertion (ADDR) mise en place après la crise post-électorale de 2011 en Côte d'Ivoire. Cette étude qui pourrait servir comme référence à la conduite efficace des opérations de Désarmement, Démobilisation et Réinsertion (DDR) en situation post conflit en Afrique, a été réalisée à travers la collecte et l'analyse d'opinions, de faits et de témoignages impliquant environ quatre cent (400) personnes dont des Autorités Administratives civiles et militaires, des élus locaux, des Chefs de communautés, des responsables d'associations, ainsi que trois cent (300) ex combattants.

Autorentext

Clément Ouollo SEKONGO tem uma licenciatura em Administração e Gestão e uma rica experiência como consultor internacional. Como tal, contribuiu para o planeamento e avaliação de numerosas iniciativas de desenvolvimento económico e de recuperação de crises na Costa do Marfim.

Klappentext

Le présent ouvrage réalise l état de la perception réciproque post conflit entre les ex combattants et les populations dans trois (03) localités situées à l Ouest et au Sud-Ouest de la Côte d Ivoire. Il s agit d une étude de référence réalisée en 2014 en appui aux actions de l Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation et la Réinsertion (ADDR) mise en place après la crise post-électorale de 2011 en Côte d Ivoire. Cette étude qui pourrait servir comme référence à la conduite efficace des opérations de Désarmement, Démobilisation et Réinsertion (DDR) en situation post conflit en Afrique, a été réalisée à travers la collecte et l analyse d opinions, de faits et de témoignages impliquant environ quatre cent (400) personnes dont des Autorités Administratives civiles et militaires, des élus locaux, des Chefs de communautés, des responsables d associations, ainsi que trois cent (300) ex combattants.